Surmontant les blocages culturels et idéologiques, leur méfiance à l’égard des conseillers agricoles et autres intermédiaires de la filière riz, ils se sont engagés dans un projet d’auto-formation à un système de culture intensive adapté à leur environnement, qui double le rendement à l’hectare et laisse entrevoir l’issue d’une longue phase de sous-développement. Le temps d’une récolte nous vivons avec eux ce difficile apprentissage.
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